Rencontre avec Arsène Valentin

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Passionnés par la vape, découvrez Arsène Valentin et son équipe à travers une interview faite au PGVG Magazine. En activité depuis 2017 pour le plus grand bonheur des vapoteurs, Arsène Valentin a voulu démocratiser la vape et la rendre accessible à tous en pratiquant des tarifs agressifs !

Bonjour Stanislas, commençons par les présentations. Qui êtes-vous ?

Stanislas : Bonjour, je m’appelle Stanislas, mais tout le monde m’appelle Stan, j’ai 35 ans. Breton de naissance, je suis d’abord passé par la Normandie pendant quelques années avant de déposer mes valises dans le Lot-et-Garonne. Arrivé en juillet 2017 chez Arsène Valentin, juste avant l’ouverture du site Internet, je suis aujourd’hui le chef de projet de la société.

Pouvez-vous présenter Arsène Valentin et en faire l'historique ?

S. : J’ai l’habitude de présenter Arsène Valentin comme une entreprise pionnière.

Eh oui, nous avons été les premiers à faire le choix du parti pris des clients en leur proposant les prix les plus attractifs possibles. Mais, pour en arriver là, il y a eu beaucoup de travail.

Lorsque je suis arrivé, en juillet 2017, nous avons travaillé chaque jour sur la mise en place du site Internet. Cet important travail comprenait les commandes fournisseurs, la création des fiches produits, la création d’un pôle logistique et j’en passe... Les débuts étaient vraiment excitants pour toute l’équipe. En novembre 2017, le site a officiellement ouvert ses portes, et là, nous avons d’abord fêté une première victoire. Les commandes ne cessaient de tomber ! Mais en parallèle, nous recevions des appels de fournisseurs qui essayaient de nous faire remonter les prix.

D’ailleurs, certains d’entre eux nous ont mis sur liste noire en nous coupant le droit de passer commande. Cette situation lourde a duré au moins deux ans puis, progressivement, les comptes ont été réouverts. Ils ont compris que nous étions attachés à notre démarche et qu’Arsène Valentin avait pris trop d’importance pour fermer ses portes en si bon chemin. Aujourd’hui, le site Internet continue de progresser et nous travaillons sur d’autres projets, toujours avec l’envie de satisfaire les clients et leur porte-monnaie.

La vape, c'est quoi pour vous ?

S. : Pour moi, la vape recouvre plein de choses. Avant de devenir un travail, c’est un état d’esprit. Je compare toujours ça au domaine de l’automobile : il y a des personnes qui voient ça simplement comme un moyen de locomotion et d’autres qui vont développer une véritable passion. Certains vont garder la même voiture pendant X années, d’autres vont en changer régulièrement par attachement et amour de l’objet. Ici, c’est pareil, chaque vapoteur est différent. Il y a ceux qui voient la cigarette électronique comme un simple outil dans l’arrêt du tabac, et d’autres qui vont en faire une passion. Personnellement, je suis de la 2e catégorie. J’ai développé un intérêt pour cet objet lorsque j’ai découvert qu’il existait des milliers de possibilités en termes de matériel et d’e-liquides. La vape est sans limites et c’est ce qui me donne envie de la faire partager au plus grand nombre.

Avez-vous un passé tabagique, et si oui, lequel ?

S. : J’ai commencé à fumer assez jeune, puis de fil en aiguille, je suis devenu un gros fumeur. J’étais encore jeune et j’avais la vie devant moi, comme on dit. Je ne pensais pas aux conséquences que pouvait avoir la cigarette sur ma santé. Malheureusement, j’ai perdu un membre de ma famille à cause du tabac, parti à seulement 40 ans. Ça fait réfléchir ! C’est suite à cela que j’ai commencé à m’intéresser à la cigarette électronique.

Quel est votre parcours professionnel ?

S. : Après avoir obtenu mon bac, je me suis dirigé vers des études de droit et d’assurances pour travailler en France puis à l’étranger, dans le domaine du courtage en assurances. C’est en 2017 que j’ai décidé de changer complètement de domaine et de tenter l’aventure dans la vape, qui était déjà ma passion depuis plusieurs années.

Comment avez-vous créé le personnage Arsène Valentin ? Et pourquoi avez-vous choisi ce nom ?

S. : Je vais laisser la parole à Célia, notre responsable de communication.

Célia : Ce fut de longues séances de discussions, échanges avec l’équipe et un graphiste en freelance. Nous avons défini un univers renvoyant à une ambiance steampunk, industrielle, apothicaire et doucement, le personnage est apparu.

La plupart des noms de shops ne sont pas très originaux, ils contiennent “cig”, “smoke” ou “vape”. Nous voulions nous distinguer afin d’être facilement identifiés. D’autre part, les grandes enseignes comme Paul Marius, Leclerc, Paul, Nina Ricci, Yves Rocher, Walt Disney... utilisent également des noms propres qui n’ont rien en commun avec leur activité et pourtant, on sait tous ce qu’ils font. Pour Arsène Valentin, c’est pareil, on voulait que notre nom soit associé à la cigarette électronique sans en porter la consonance. Et pour terminer, nous voulions deux prénoms faciles à prononcer et reconnaissables à l’international : Arsène Valentin (et pas : Arsène Et Valentin).

Quels sont aujourd'hui les moyens techniques et humains d'Arsène Valentin ?

S. : Aujourd’hui au siège, il y a une quarantaine de personnes qui travaillent pour Arsène Valentin et une soixantaine de conseillers clientèle en magasin. Nous avons une plateforme logistique (basée à Mondeville en Normandie), pour traiter toutes les commandes des boutiques en 24 h, et un pôle logistique pour traiter les commandes Internet. Avec le développement rapide des boutiques en licence de marque, nous avons dû simplifier leur processus d’achat. Grâce à des négociations avec de grandes marques d’e-liquides, les fournisseurs stockent dans leurs entrepôts pour les livrer en direct à J+1. D’ici décembre 2023, nous allons emménager dans un nouvel établissement de plus de 3 000 m², qui est en cours de construction.

Aujourd'hui, quelle est la cible privilégiée du site web Arsène Valentin ?